La balade artistique de Fine Little Day débute en 2007, lorsqu’elle qu’Elisabeth Dunker voit la création de son blog comme le moyen de partager de petites merveilles visuelles, des idées et des expériences. Victime de son succès, la jeune femme s’attèle alors à des créations personnelles qu’elle décide de mettre en vente. Son eshop était né.
Elisabeth, la marginale
« Quand m’est venu le nom de Fine Little Day, j’ai aimé sa grammaire incorrecte, l’ordre des mots qui sonnait faux et pourtant très bien », nous confie Elisabeth. Avec cet amour pour le trait hésitant et le design artisanal, l’originalité se retrouve directement dans son travail à travers les silhouettes d’oiseaux ou les sapins dessinés sur ses drapés. L’authenticité marginale qu’ils dégagent est puisée de marchés aux puces ou de promenades en forêt initiées par ses parents. « Quand ils voulaient faire quelque chose d’amusant, ils nous emmenaient, ma sœur et moi, au lac ou en forêt », raconte l’artiste. Des souvenirs d’enfance qui inspirent ses créations.
Syndrome de Peter Pan
Le travail d’Elisabeth s’amuse donc d’un mélange puissant entre effluves sauvages et poétiques. De petites bêtes griffonnées, des tableaux tachetés ou des portraits d’animaux aux traits plus grossiers habitent ses œuvres d’une délicate innocence. De quoi parler aux plus jeunes mais aussi à ceux qui ont su garder une âme d’enfant, à l’image de l’artiste elle-même. S’abreuvant de plaisirs simples et de cette fougue propre à la jeunesse, Elisabeth inonde ses oeuvres d’un regain espiègle auquel on ne saurait résister. Ces dernières sont d’ailleurs commercialisées sur son eshop, aux côtés d’une foule d’autres jolis objets de désir à fort capital plaisir. Une sélection de bon ton, pleine de douceur et de personnalité, aux inspirations scandinaves et bohèmes, parsemée de touches graphiques, dans le style Dunker.